Qui sommes nous ?

Les Loustics sous le Baobab
Créée en 2019, l'association française Les Loustics sous le Baobab » s'est donné comme objectif de soutenir les actions menées par l'association sénégalaise « L'Enfant D'abord » qui œuvre à l'épanouissement des enfants du village de brousse de Niague Peulh.

La création de l’association intervient après un volontariat mené par trois personnes auprès de « L’Enfant D’abord ». Confrontées aux conditions de vie difficiles d’enfants d’un pays en voie de développement, elles ont souhaité agir à leur échelle pour soutenir le village. 

Aujourd’hui, l’association est soutenue par de nombreux membres actifs, et son bureau se compose de huit personnes chargées de mener à bien des actions autour de l’éducation, de l’épanouissement, de la santé ou de la sensibilisation. 

photo équipe
Notre approche
“Il n'existe pas d'autre voie vers la solidarité humaine que la recherche et le respect de la dignité individuelle.” (Pierre Lecomte du Noüy)

Notre vision de la solidarité internationale : 

Selon nous, un engagement dans la solidarité internationale a pour objectif d’apporter une aide à une population donnée, en partenariat avec les acteurs locaux. La solidarité internationale se doit d’être un projet pérenne de développement local, dans des domaines aussi variés que l’instruction, la santé, ou le développement durable par exemple. Le projet doit aspirer à la réduction des inégalités ; pour ce faire, il s’appuit sur les ressources locales disponibles, tant humaines que matérielles.

Les objectifs de l'association
Notre intention première est de répondre aux besoins locaux du village, dans une démarche de développement. Cela passe par exemple par la formation des locaux, la professionnalisation des salariés, l’instruction des enfants ou des adultes pas encore alphabétisés.

Notre mission n’est pas éphémère : Enfant D’abord n’a pas seulement construit le bâti d’une école, nous continuons de la faire vivre et y associons d’autres projets répondant à des besoins. Le projet est donc pérenne et se poursuit au fil du temps.

L’ambition que nous projetons est l’autonomie à moyen ou long terme des acteurs locaux dans la poursuite du projet.

Les deux associations s’assurent d’agir en réponse à des besoins locaux interdépendants dans plusieurs champs d’intervention : la santé, le social, l’instruction et l’épanouissement.

Nous essayons par ailleurs de maintenir la culture et les habitus traditionnels dans le village. De fait, même si nous projetons un certain progrès social, l’objectif n’est pas d’occidentaliser le village, mais plutôt même d’informer les locaux sur leur propre culture et histoire (via les ateliers lecture, le projet d’écriture d’un conte africain, ou des sorties à l’île de Gorée par exemple).

Les différents projets menés sont réalisés dans le respect de la culture sénégalaise et des codes sociaux qui peuvent être très différents des codes occidentaux. L’aide apportée doit donc se faire selon un protocole visant à préserver la dignité de la population locale.

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